Les Arques, 46 Lot, Midi-Pyrénées, France
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17. Juin 2021 , François Hollande rend visite aux Arques

Ce jeudi 17 Juin en visite dans notre département du Lot, François Hollande a pris la route des Arques pour visiter le musée départemental consacré à Zadkine, en présence du maire de la commune et du Président du Conseil Départemental.
Il est arrivé aux Arques peu après 15 heures où Catherine Prunet, vice-présidente du Département, lui présente les lieux.
Après avoir signé le livre d'or du musée Zadkine de nombreuses associations culturelles l’attendaient afin d’échanger avec lui sur le thème de la culture en milieu rural.
Cette belle après-midi historique pour notre village se clôturait avec une dégustation organisée par les jeunes viticulteurs de notre appellation Cahors.
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« Le tour des hameaux » 

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Lieu dit "Bout", avec monsieur Jacques Prunis

M. Jacques Prunis, cela fait combien de temps que vous vivez ici, à Bout ?
Je suis né ici, dans la maison familiale. Ma famille est ici depuis la nuit des temps. Au début, la maison était petite, mais, au fur et à mesure, des extensions se sont rajoutées.

Vous et votre famille avez toujours été des agriculteurs ?
Évidemment, on travaillait pour vivre. La polyculture permettait de manger et de vendre un peu. On faisait comme tout le monde. Chaque famille avait un petit troupeau de moutons pour la laine, des agneaux et des vignes pour faire son vin. Pendant une vingtaine d’années, le tabac était la culture la plus rentable.
Autour de 1950, j’ai commencé à planter des noyers, qui ont toujours été présents ici, sous leur forme sauvage. Donc, le terrain se prête bien à cette culture.

Puis, les lapins ont été une bonne source de nourriture. Ici, à Bout, il y a plein de murs construits creux et avec des clapiers, pour que les lapins puissent vivre et circuler à l’intérieur. Pour les chasser, on laissait entrer un furet, les lapins sortaient et les chasseurs attendaient. Dans les année 50, la myxomatose menaçait de faire disparaître les lapins. Mon père les attrapait pour les vacciner. On prélevait et on soignait.

Quand vous étiez petit vous étiez scolarisé aux Arques ?
Les quatre premières années, j’étais à Montgesty et ,seulement après, aux Arques. A l’époque, les enfants venaient tous à pied, été comme hiver. Avant, il y avait toujours de la neige en hiver et on a eu jusqu’à -20°. C’était en 1956. Une fois arrivé à l’école, on se chauffait devant le poêle à bois. On était environ quarante enfants et l’école était divisée entre filles et garçons.

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Il y avait combien de famille à Bout dans votre enfance ?
Nous étions deux familles d’agriculteurs, qui vivaient côte à côte, plus une dame qui vivait seule dans la maison un peu plus bas.

Bout, aujourd’hui, est le hameau le plus peuplé des Arques. Êtes-vous pour quelque chose dans cette histoire ?
En effet. En 1971, mes parent ont vendu la vieille grange, qui servait de stockage. Après, il y avait beaucoup de terre qui ne servait plus, et là, il a fallu choisir entre la laisser devenir sauvage, ou la vendre pour construction.

Si on fait l’inventaire de Bout, il y a treize familles qui vivent ici à l’année, deux maisons de vacances, et deux familles qui sont en train de construire. Grâce à vous, monsieur Prunis, huit familles se sont installées ici.

Des outils en silex, retrouvés sur place, témoignent de la présence de campements préhistoriques, et, encore plus récemment, du néolithique. De nombreux débris de haches ont aussi été retrouvés. *
Apparemment Bout a toujours été attractif !


*Source : Paul Latapie : « Les Arques en Quercy »


Lieu dit « la Passade », par Elisabeth Bousquet.

La maison de la Passade est située au nord de la commune des Arques, à la limite de la commune de Montcléra, au cœur de l’espace naturel sensible de la Vallée de la Masse.

Le nom de la Passade viendrait du passage créé sur la Masse, pour permettre de circuler d’une rive à l’autre de ruisseau.
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Nous nous y sommes installés il y a 26 ans. La maison date de 1895.​
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​Depuis l’automne 2019, Thierry s’est installé maraîcher bio, par passion et désireux depuis toujours de consommer des produits de qualité qui ont du goût. De par la situation géographique de la Passade, il était évident de se lancer dans la production de légumes biologiques.

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"Les Places" par Yvette Lafon

D’hier à aujourd’hui : la carte de Cassini du XVIII° siècle :

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et l’été dernier, le hameau des Places, vu du ciel :

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Situé à un kilomètre du bourg, à la limite Est de la commune, le hameau qui ne comptait qu’un seul habitant en 1980, en totalise dix aujourd’hui, dont huit à longueur d’année.

Outre ses maisons en pierres restaurées et une en bois récemment construite, on compte deux fours à pain et un puits.
Il paraîtrait que le nom Les Places était attribué aux lieux où s’effectuaient le changement des chevaux des diligences.
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Nous avons de la famille de M. Lafon, hérité des bâtisses inhabitées depuis des années elles étaient utilisées comme séchoir à tabac. Nous avons restauré la maison et la grange contiguës, aux Places et nous nous y sommes installés au cours des vacances scolaires en 1981. Depuis, nous avons fait d'autres rénovations. Ma fille et son mari ont aussi restauré une maison à côté.


​"Coup de foudre à Fazende" Avec Guy Tanis


On ne peut pas vraiment vous demander pourquoi vous êtes venu ici, M. Guy Tanis :
Je suis né ici, dans la maison, comme ma mère. C’est mon grand-père qui en a hérité. Une branche de la famille s’était éteinte, à cause de la guerre 14-18, et nous étions les seuls héritiers.


Et comment était la vie à Fazende dans votre jeunesse ?
On pratiquait la polyculture : Tabac, pruneaux, noix et vin. On avait des animaux : moutons, vaches, cochons, lapins et volailles. Quand un truc ne marchait plus, on s’appuyait sur un autre. Les vaches à lait par exemple. En polyculture, on ne produisait plus assez pour faire venir un camion pour récolter le lait, mais faire de la monoculture, non, ce n’est pas vraiment de notre esprit.
Nous avons labouré les champs avec des bœufs jusqu’à 1957, l’année du premier tracteur, qui est toujours dans la grange ... mais il est fatigué et ne veut plus marcher.


Vous pouvez dire s’il y a quelque chose de spécial à Fazende, une anecdote ?
En effet, oui. On attire la foudre. J’ai vu un certaine nombre d’arbres foudroyés et brûlés, juste en face, dans le champ. Une fois, je suis allé chercher les vaches pour les mettre à l’abri, mais, sur le chemin, une vache s’est fait foudroyer, morte devant mes yeux. Pareil, un arbre, juste en face de moi, s’est fait éclater par la foudre, réduit en allumettes. Et même devant la maison, j’ai vécu un phénomène étrange : une boule de foudre s’est posée par terre, et a roulé tout autour de moi et dans la cour. Il parait que la foudre est attirée ici, à Fazende, parce que le sous-sol est creux.


Et le coup de foudre pour votre épouse, Christiane ? Comment se rencontrait-on, à la campagne ?
Comme ça, un dimanche après-midi. Christiane était avec ses moutons. Un coup de bavardage et un coup de foudre.


Et Fazende , aujourd’hui?
Avant, nous étions trois agriculteurs, après il n’y avait plus que nous. Maintenant, nous sommes à la retraite, et Fazende compte un autre couple et nous, un gîte et une maison pas encore habitée.

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« Le Truc » par Guy Fillion.​


​Monsieur Fillion, parlez-nous de votre hameau, Le Truc :
Je pourrais en parler pendant des heures mais, pour faire bref, d’abord, sachez que ce n’est pas la peine de chercher une pancarte indiquant sa direction, toutes sont volées par des gens qui croient que c’est un gag, alors que c’est simplement un très vieux mot qui veut dire « la colline ». Des ignorants. J’habite donc un endroit-où-l’on-ne-sait-pas-comment-aller. C’est comme un conte.
Comment êtes vous arrivé là ?
Tout simplement à ma retraite, en 2001, j’ai dû quitter l’appartement que je louais à Nantes et je suis venu m’installer dans la grange de mon grand père, pas très confortable l’hiver, mais cela s’améliore. Cela, c’est la raison négative, la positive est que je savais que je trouverais de quoi satisfaire mes goûts avec les rencontres de Gindou et les Ateliers des Arques. Je ne suis pas déçu.
Et comment voyez vous l’avenir au Truc ?
Il paraît qu’au début du XXème siècle, il y avait là une trentaine d’habitants, nous sommes maintenant quatre habitants permanents (cela a doublé il y a trois ans avec l’arrivée d’un jeune couple). Nous annexons volontiers notre voisine qui est seule à habiter le lieu-dit voisin dont il ne faut pas oublier le joli nom Trigodina.
Outre le jeune couple, un autre signe d’avenir : grâce au pécule légué par ma tante, prolongé par une subvention de la mairie et du département, le four banal, appartenant à la commune, a pu être restauré. Pour ce qui aurait dû être les cent ans de ma tante, ma cousine y a organisé, pour les gens du hameau et ses voisins, une petite fête et du pain est à nouveau sorti du four. Il y aura évidemment des suites.




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Une nouvelle "plume" aux Arques:

Hélène  Tall est gérontologue et écrivaine de langue maternelle française.
Elle a publié un livre intitulé "Osez la conscience augmentée".
C'est un ouvrage intuitif qui vise à éveiller les consciences par un travail de développement personnel grâce à des textes  profonds et mélodieux . Ce livre a fait l'objet de plusieurs articles dans la presse d'Occitanie: la Dépêche, la vie Quercynoise et d'autres sont à paraitre.
HélèneTall a participé à des séances de dédicaces en librairies qui ont été un succès.Par ailleurs, elle organise pour les particuliers des séances de dédicaces intuitives et personnalisées.Il suffit de la contacter via son site http://www.helenetall.com

Ce livre est disponible sur commande dans toutes les librairies et auprès de l'auteure directement.

Il  existe une version anglaise (contactez l'auteure).


Un livre à s'offrir .


Les médias parlent des Arques

Le 23 septembre 2020 : Article dans le magazine « Télérama »
Le 14 octobre à  16h30 2020 : Arte, émission « L’invitation au voyage »
(à revoir en podcast sur le site de la chaîne : 
https://www.arte.tv/fr/videos/100115-001-A/zadkine-sculpte-par-le-quercy/​

Ouverture d'un Jardin de Thé et de Chambres d'Hôtes aux Arques

A partir du 20 juillet 2020, « La P'tite Place » ouvre ses portes au cœur du village, tout à côté du presbytère.
Notre joli village s'enrichit d'un Jardin de thé et de Chambres d'Hôtes, une initiative de Paul et Anita, un couple d’origine néerlandaise qui s’installe aux Arques.
Après avoir rêvé ce projet durant de nombreuses années, les voilà prêts à partager cette belle aventure avec tous ceux qui pousseront la porte de « La P’tite Place » !
Ils sont tombés amoureux de notre petit village où ils ont trouvé au milieu du centre pittoresque une très jolie propriété avec un superbe point de vue sur la campagne environnante.
Anita et Paul n’ont pas ménagé leur peine pour mettre en place leur activité et rénover la maison et les extérieurs.
Pendant les travaux, ils ont fait une découverte intéressante qui ajoute un « secret » au village… une entrée voûtée dans le puits... Leur aventure a débuté dans leur jardin !
Alors la vôtre peut aussi commencer dans ce jardin, que ce soit pour un café, un thé ou une tisane bio agrémenté d’un mets savoureux fait maison, d’un léger déjeuner, d’une glace ou d’un smoothie ou pourquoi pas pour un séjour plus long d’une ou plusieurs nuitées.
Votre hôtesse, Anita est impatiente de vous réserver le meilleur accueil et avec Paul, tous les deux seront attentifs et bienveillants à l’égard de tous les habitants, des promeneurs et des touristes.
Souhaitons leur la bienvenue et toute la réussite qu’ils méritent pour cette heureuse initiative !
Le jardin de thé et les chambres d'hôtes sont ouverts de mai à octobre inclus.


Les médias saluent l’initiative de Jérôme Bonafous, maire des Arques !

Samedi 18 juillet dernier, en soirée étaient accueillies dans notre village plusieurs familles de soignants venant de région parisienne durement touchée par le COVID 19.
Pour témoigner concrètement la reconnaissance que chacun doit à ces soignants longuement éprouvés par l’épidémie, J. Bonafous a souhaité que les résidences d’artistes des Arques soient mises gracieusement à leur disposition durant une semaine de vacances bien méritées.
Cette opération a été menée en partenariat avec la communauté de communes Cazals-Salviac et le département du Lot.
Retrouvez les publications à l’aide des liens ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=3q0pV5X7nXc&feature=youtu.be
https://medialot.fr/cazals-salviac-des-soignants-de-creteil-et-villeneuve-saint-georges-accueillis-gratuitement/
https://www.ladepeche.fr/2020/07/19/des-soignants-parisiens-recus-pour-des-vacances-aux-arques-et-a-cazals-8985808.php

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